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Investissement à long terme
Cinq conseils à suivre pour investir en 2024
Lawrence Kymisis
Gestionnaire de portefeuille
Oliver Edmonds
Gestionnaire de portefeuille / Analyste
Mike Gitlin
Président et chef de la direction

Toute une différence en l’espace d’un an. Au début de l’année 2023, le pessimisme des marchés était généralisé, les investisseurs se préparaient à une récession et beaucoup s’attendaient à une nouvelle année de baisse au sein des actions. Au lieu de cela, l’économie s’est avérée remarquablement résiliente, l’inflation a diminué à un rythme rapide et les actions américaines, représentées par l’indice S&P 500, ont grimpé de 26,3 %. Une véritable surprise.


L’histoire témoigne du fait que l’économie et les marchés semblent toujours trouver le moyen de surprendre les investisseurs. Quoi qu’il arrive aux investisseurs au cours de l’année à venir, voici cinq conseils clés pour maintenir vos plans à long terme sur la bonne voie.


1. Les élections vont et viennent, mais les résultats durent toute une vie


Les nouvelles politiques ne manqueront pas de faire la une des journaux en 2024. Plus de la moitié de la population mondiale se rendra aux urnes, de Taïwan à l’Afrique du Sud. Avec des débats qui font rage sur l’immigration, la politique internationale et les questions sociales, l’élection présidentielle américaine s’annonce particulièrement controversée.


L’incertitude entourant les élections entraînera probablement une plus grande volatilité des marchés, en particulier pendant la période des élections primaires. La bonne nouvelle : la volatilité peut souvent générer des occasions pour les investisseurs patients.


« Les entreprises de haute qualité se retrouvent fréquemment dans le collimateur politique, ce qui peut créer une occasion d’achat », explique Rob Lovelace, gestionnaire de portefeuille d’actions. « Mais j’essaie généralement de voir au-delà du cycle électoral et de viser une période de détention moyenne de mes portefeuilles d’environ huit ans, soit essentiellement deux mandats présidentiels. »


Les investisseurs peuvent avoir de fermes convictions quant au candidat ou au parti politique qui mènera les États-Unis dans la bonne direction, mais historiquement, le parti qui l’emporte n’a eu que peu d’impact sur les rendements à long terme du marché. Depuis 1936, le rendement annualisé sur 10 ans des actions américaines (mesuré par l’indice S&P 500) au début d’une année électorale a été de 11,2 % en cas de victoire d’un démocrate et de 10,5 % en cas de victoire d’un républicain.


Le rouge, le bleu et vous : la politique n’a pas beaucoup d’importance pour l’investissement aux États-Unis

Le diagramme à barres indique que les rendements sur 10 ans d’un investissement hypothétique de 10 000 $ dans l’indice S&P 500 effectué au début d’une année électorale donnée entre 1936 et 2012 n’ont pas été substantiellement influencés par la victoire d’un démocrate ou d’un républicain. L’axe horizontal indique la valeur finale d’un investissement de 10 000 $ effectué au début d’une année électorale et conservé pendant 10 ans. Les mandats présidentiels sont indiqués selon le parti, de 1936 à 2021. Il en ressort que le rendement annuel moyen sur 10 ans à partir des années de victoire d’un candidat démocrate était de 11,2 %, tandis que le rendement annuel moyen sur 10 ans à partir des années de victoire d’un candidat républicain était de 10,5 %. Les périodes de 10 ans, leur valeur finale et le parti qui a occupé la Maison-Blanche sont indiqués ci-dessous : La valeur finale pour la période allant de 1936 à 1945 était de 22 418 $ (démocrate). La valeur finale pour la période allant de 1940 à 1949 était de 23 992$ (démocrate). La valeur finale pour la période allant de 1944 à 1953 était de 38 016$ (démocrate). La valeur finale pour la période allant de 1948 à 1957 était de 45 702$ (démocrate). La valeur finale pour la période allant de 1952 à 1961 était de 45 741 $ (républicain). La valeur finale pour la période allant de 1956 à 1965 était de 28 561$ (républicain). La valeur finale pour la période allant de 1960 à 1969 était de 21 228$ (démocrate). La valeur finale pour la période allant de 1964 à 1973 était de 17 906$ (démocrate). La valeur finale pour la période allant de 1968 à 1977 était de 14 239$ (républicain). La valeur finale pour la période allant de 1972 à 1981 était de 18 769$ (républicain). La valeur finale pour la période allant de 1976 à 1985 était de 38 207$ (démocrate). La valeur finale pour la période allant de 1980 à 1989 était de 50 384$ (républicain). La valeur finale pour la période allant de 1984 à 1993 était de 40 208$ (républicain). La valeur finale pour la période allant de 1988 à 1997 était de 52 567$ (républicain). La valeur finale pour la période allant de 1992 à 2001 était de 33 755$ (démocrate). La valeur finale pour la période allant de 1996 à 2005 était de 23 836$ (démocrate). La valeur finale pour la période allant de 2000 à 2009 était de 9 090$ (républicain). La valeur finale pour la période allant de 2004 à 2013 était de 20 430$ (républicain). La valeur finale pour la période allant de 2008 à 2017 était de 22 603$ (démocrate). La valeur finale pour la période allant de 2012 à 2021 était de 46 257$ (démocrate).

Sources : Capital Group, Standard & Poor’s. Chaque période de dix ans commence le 1er janvier de la première année indiquée et se termine le 31 décembre de la dixième année. Par exemple, la première période couvre la période du 1er janvier 1936 au 31 décembre 1945. Les chiffres présentés sont des résultats passés et ne sont pas garants des résultats futurs.

2. Les liquidités ne sont peut-être pas aussi attrayantes que vous le pensez


En 2023, les investisseurs sont passés d’une aversion pour le risque à une aversion pour les pertes. Les investisseurs craintifs ont transféré des milliards de dollars vers des instruments de trésorerie et d’équivalents de trésorerie. Il est naturel de rechercher la sécurité lorsque l’incertitude est élevée. Et les taux attrayants des fonds monétaires et des équivalents de trésorerie peuvent sembler rassurants. Mais les liquidités ne sont peut-être pas aussi attrayantes qu’on le pense si l’on tient compte du coût d’opportunité.


Les investisseurs n’ont qu’à regarder leurs relevés du quatrième trimestre de 2023 pour constater que rester sur la touche comporte ses propres risques. En dollars américains, l’indice S&P 500, une mesure générale des actions américaines, a progressé de 11,69 % au cours du trimestre terminé le 31 décembre 2023, et l’indice Bloomberg U.S. Aggregate Bond, une mesure générale du marché obligataire américain, a augmenté de 6,82 %.


Les investisseurs encore sur la touche pourraient passer à côté d’occasions futures et mettre en péril leurs objectifs à long terme. « Je pense que nous sommes à l’aube d’une transition majeure où les investisseurs à long terme peuvent trouver des occasions de placement attrayantes dans les actions et les obligations », déclare Mike Gitlin, président et chef de la direction de Capital Group.


3. L’innovation a le vent en poupe, mais la diversification est importante


Les percées dans le domaine de l’intelligence artificielle (IA) ont captivé le monde et fait grimper en flèche les cours des actions d’une poignée d’entreprises technologiques à mégacapitalisation. Certaines de ces entreprises de pointe continueront probablement à être à l’avant-garde de l’innovation à mesure que les applications de l’IA se déploieront dans l’ensemble de l’économie et auront un impact sur notre façon de vivre et de travailler. NVIDIA, par exemple, conçoit de puissantes puces informatiques nécessaires à l’exécution des applications d’IA, et Microsoft est copropriétaire de ChatGPT, la populaire application d’IA. Mais leurs récents succès ont eu pour conséquence un marché boursier américain plus concentré qu’il ne l’était à l’époque de l’essor de l’internet.


Depuis décembre 2023, les 10 plus grandes entreprises du S&P 500 représentent 30,9 % de la capitalisation boursière, contre une pondération de 26,6 % pour les 10 plus grandes entreprises en mars 2000.


Avec un nombre aussi restreint de valeurs technologiques américaines générant une part importante des rendements globaux du marché, les avantages potentiels de la diversification n’étaient pas évidents l’année dernière. Cependant, une large diversification entre les régions et les secteurs reste une caractéristique des portefeuilles destinés à aider les investisseurs à atteindre leurs objectifs tout au long des cycles du marché.


« Compte tenu de l’incertitude économique qui règne en ce début d’année, je pense que la diversification est plus essentielle que jamais », déclare Lawrence Kymisis, gestionnaire de portefeuille,  « et je pense qu’il existe des occasions d’investissement prometteuses parmi les chef de file américains de la technologie, ainsi que parmi les entreprises qui versent des dividendes et les entreprises mondiales de premier plan. » En effet, l’Europe et l’Asie abritent des pionniers dans d’autres secteurs, de l’aérospatiale à l’automatisation des usines. Par exemple, la société française Safran, premier producteur mondial de moteurs d’avions à fuselage étroit, développe en partenariat avec General Electric des moteurs qui pourraient réduire les émissions de 20 %. Au Japon, SMC est un leader dans le domaine des composants d’équipements robotisés et de la production de semi-conducteurs.


4. Le retour en force des obligations ne fait que commencer


Récemment, les obligations n’ont pas réussi à produire la stabilité relative et la diversification auxquelles les investisseurs s’attendaient. En 2022, pour la première fois en 45 ans, les obligations ont baissé en même temps que les actions pendant une année civile complète. La volatilité du marché obligataire s’est poursuivie pendant la majeure partie de l’année 2023.


La situation s’est cependant considérablement améliorée au cours des derniers mois. L’inflation ayant baissé plus rapidement que prévu, la Réserve fédérale américaine a indiqué qu’elle avait fini de relever les taux d’intérêt; une nouvelle qui a déclenché un redressement des marchés obligataires au quatrième trimestre. Par le passé, la fin d’un cycle de resserrement a toujours été un bon moment pour détenir des obligations.


De plus, étant donné que les rendements ont augmenté de manière significative dans tous les secteurs du crédit (et que tout ralentissement de l’économie pourrait déclencher des baisses de taux), les obligations pourraient être le retour en force de 2024. « Les obligations pourraient bientôt revenir à leur rôle de base, c’est-à-dire offrir un revenu et une diversification en cas de baisse des marchés boursiers », déclare Oliver Edmunds, gestionnaire de portefeuille.


5. Il y a toujours des raisons de ne pas investir, mais les marchés ont bien résisté


« En 25 ans d’activité dans le domaine de l’investissement, je n’ai jamais connu de bon moment pour investir. Il y a toujours une douzaine de bonnes raisons d’attendre », a déclaré Graham Holloway, le regretté président du conseil d’American Funds Distributors, une société affiliée à Capital Group aux États-Unis. « Aujourd’hui ne fait pas exception… les taux d’intérêt, le président, les conflits incessants au Moyen-Orient, les réglementations gouvernementales excessives et un Congrès qui fait plus partie du problème que de la solution. Une personne prudente pourrait être tentée de ne pas investir dans ces circonstances, à moins de vouloir profiter d’une occasion. »


Ces mots auraient pu être prononcés hier, mais ils l’ont été en mai 1981, une autre période d’incertitude sur les marchés. Les nouvelles provoquent des turbulences à court terme, mais ce sont les fondamentaux des entreprises qui déterminent les marchés à long terme.


Les perturbations du marché sont inévitables et fréquentes

Sur un graphique horizontal représentant les résultats de l’indice MSCI All Country World, sont notés les événements historiques et du marché importants survenus entre janvier 1987 et 2023. Il s’agit des événements suivants : le krach boursier du lundi noir en 1987; l’invasion du Koweït par l’Irak en 1990; la première guerre du Golfe en 1990-1991; l’effondrement de l’Union soviétique en 1991; la récession de 1990-1993; la crise du peso mexicain en 1994; la crise du rouble russe en 1998; l’effondrement de Long-Term Capital Management en 1998; la crise financière asiatique de 1998-1999; la crainte du passage à l’an 2000; l’éclatement de la bulle technologique en 2000; les attentats terroristes du 11 septembre 2001; l’épidémie de SRAS en 2003; la deuxième guerre du Golfe en 2003; l’épidémie de grippe aviaire en 2005; la crise financière mondiale de 2008-2009; l’invasion de la Crimée par la Russie en 2014; le vote du Brexit en 2016; les émeutes de Hong Kong en 2019; la pandémie de la COVID-19 en 2020; la flambée de l’inflation post-COVID de 2021 à 2022; l’invasion de l’Ukraine par la Russie de 2022 à aujourd’hui; la guerre entre Israël et le Hamas, d’octobre 2023 à aujourd’hui. La valeur de l’indice est indexée à 100 au 1er janvier 1987. La valeur au 31 décembre 2023 était de 1 712,59.

Sources : MSCI, RIMES. Au 31 décembre 2023. Les données sont indexées à 100 le 1er janvier 1987 et basées sur l’indice MSCI All Country World du 1er janvier 1987 au 31 décembre 1987, sur l’indice MSCI World (rendements bruts) du 1er janvier 1988 au 31 décembre 2000 et sur l’indice MSCI ACWI (rendements nets) par la suite. Présenté sur une échelle logarithmique. Les résultats passés ne sont pas garants des résultats futurs. Exprimés en USD. 

 



Lawrence Kymisis est gestionnaire de portefeuille d’actions chez Capital Group et possède 30 ans d’expérience en matière de placement (au 31 décembre 2023). Il est titulaire d’une maîtrise en économie de la London School of Economics et d’un baccalauréat en économie et politique de l’Université de Bristol.

Oliver V. Edmonds est gestionnaire de portefeuille de titres à revenu fixe et possède 20 ans d’expérience en matière de placement (au 31 décembre 2023). Il est titulaire d’une maîtrise en statistiques de l’Université de Californie à Los Angeles et d’un baccalauréat en mathématiques appliquées de l’Université de Californie à San Diego.

Mike Gitlin est président et chef de la direction de Capital Group. Il possède 30 ans d’expérience dans le secteur des placements (au 31 décembre 2023) et travaille chez Capital Group depuis 9 ans. Il est titulaire d’un baccalauréat de l’Université Colgate.


L’indice Bloomberg U.S. Aggregate Bond représente le marché américain des obligations à taux fixe de qualité investissement.

 

L’indice MSCI World est un indice pondéré selon la capitalisation boursière flottante, conçu pour mesurer les résultats boursiers des marchés développés. L’indice est composé de plus de 20 indices de pays de marchés développés, dont les États-Unis.


L’indice MSCI All Country World (ACWI) est un indice pondéré selon la capitalisation boursière flottante, conçu pour mesurer le rendement des marchés boursiers des pays développés et émergents. Il est composé de plus de 40 indices de pays développés et émergents.

 

L’indice S&P 500 est un indice pondéré selon la capitalisation boursière, fondé sur les résultats d’environ 500 actions ordinaires détenues par un grand nombre d’actionnaires.

 

 

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